La seconde partie de notre dossier consacré au cinéma numérique illustre les propos parus dans notre précédent numéro à partir de deux films tournés en Belgique. Nuit Noire, un long métrage d'Olivier Smolders et Marelle, un court métrage de Nacho Carranza. Nous nous sommes entretenus avec Michel de Kempeneer et Louis-Philippe Capelle (nous publierons des entretiens avec Olivier Smolders et Philippe Blasband sur le côté esthétique du numérique) pour l'un et Patrice Michaud pour l'autre. Coming soon.
Un long métrage en HD (Viper)
Lorsque nous demandons à Michel De Kempeneer, l'un des producteurs (Polygone Productions) de Nuit noire les raisons…
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Genappe, sa sucrerie, sa vie quotidienne. D'un côté, un couple heureux avec un petit garçon et des tracas que l'on pourrait qualifier de banals : ils veulent acheter une maison, mais le père, connaissant la précarité de son emploi à la sucrerie, est réticent. De l'autre, un adolescent fasciné par la nature et les oiseaux, se pose des défis pour grandir.
Ces deux univers vont soudain se rencontrer suite à la disparition de l'enfant, Arthur, et la douce folie qui va gagner Blanche, la mère, qui refuse la mort de son fils. A partir du thème peu exploité au cinéma, contrairement aux journaux télévisés, de la disparition d'un enfant, Thomas…
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Dans le cinéma les rapports sont de plus en plus brutaux, on est confronté quotidiennement à du capitalisme sauvage.
Cédric Khan — Les Inrockuptibles
Neuf heures du mat. Toute la nuit, il a neigé. Des flocons qui en se déposant sur le sol forment 3 cm de neige poudreuse. Nous devons nous rendre sur le tournage de Zartmo (Mozart en verlan), un court métrage réalisé par Marc Dalmans.
Le sujet est épatant. D'ailleurs les glissades c'est tout un art pour le cinéma belge qui surfe sur tout ce qui lui permet d'exister. Place Jeff Mennekens, un tram est bloqué. C'est à l'intérieur de celui-ci que se tourne Zartmo.
Nous sommes gelés et faisons…
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Il y a au moins trois bonnes raisons d'aller voir le premier long métrage de Julie Bertuccelli : la première c'est qu'il nous raconte une histoire, la deuxième c'est qu'il nous transporte dans un univers loin de chez nous et la troisième parce que c'est un film qui fait du bien et dont on sort baigné de tendresse, de poésie et de drôlerie. Le film, inspiré d'un fait réel, raconte l'histoire très fine d'un pieux mensonge qui changera la vie de trois femmes de trois générations différentes : la mère Eka, sa fille Marina et sa petite-fille Ada et ce à Tbilisi en Géorgie.
C'est en France qu'Otar, le fils de Eka est parti…
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