Je ne suis qu’un corps de Éva Morin
06/05/2025, Critique
Marqué par les carences d’une mémoire abîmée par les traumatismes, le film tente de reconstruire des souvenirs fragmentés. Deux jeunes femmes s'unissent à la réalisatrice, à trois, elles font corps pour briser le silence, pour raconter une histoire d'inceste. Entre réalité et flash-back traumatique, le récit transcende les frontières des genres pour offrir une exploration de la douleur et de la résilience.