La fureur de vivre
Du jour au lendemain, Vincent Borel (Karim Leklou), graphiste ordinaire travaillant dans un bureau tristounet, est agressé physiquement et sans raison apparente par des gens qui essaient de le tuer. Il semble que tout le monde autour de lui, collègues, amis ou parfaits inconnus, s’est donné le mot : Vincent, qui n’est pourtant pas plus tête à claques qu’un autre, doit mourir ! Ses agresseurs ne peuvent pas expliquer leurs gestes, si ce n’est par des « moments d’absence » au cours desquels, après un simple contact visuel avec Vincent, leur violence et leur rage se déchaînent. Tabassé, étranglé, poignardé avec un stylo, poursuivi par une voiture qui tente de l’écraser, jeté dans une fosse septique, voilà le calvaire et le nouveau quotidien de Vincent… Lorsque le phénomène (virus ? caméra cachée ?) s’amplifie et que le pauvre est attaqué dans son immeuble par les enfants des voisins (qu’il est obligé de gifler pour se défendre), plus personne ne croit à son histoire abracadabrante. Vincent doit fuir…