Au cours de la crise sanitaire passée, nombre de personnes ont été oubliées parnotre/nos gouvernement(s). Les étudiant.e.s en font partie. Les travailleur.euse.s du sexe également. Ce sont elles et eux qui se retrouvent, souvent, en première ligne d’un système défaillant qui n’est pas venu à leur secours, les obligeant àtrouver des alternatives pour survivre. André, c’est ce jeune garçon qui se joue de ce système, s’en moque et tente, comme il le peut, de s’affranchir des tabous existants autour du travail du sexe. Ce sont là ses seules armes pour payer ses études au conservatoire, se loger ou encore garantir ses frais scolaires ainsique son matériel de musique. La vision singulière de ce garçon autonome et déterminé rend compte de l’importance du regard que l’on porte sur le travail du sexe, ses travailleur.euse.s et l’urgence de déconstruire de vieux préjugés.