Faux semblants
Cinq ans après Pourquoi se marier le jour de la fin du monde? , nous saluons le retour d'Harry Cleven derrière la caméra. Et une fois de plus, c'est avec un film fort, plongeant avec audace au coeur d'un maelström d'amour/haine fatalement destructeur. Le cinéaste de Malmédy nous convie à partager une histoire de rapports fraternels d'une intensité peu banale, que des affects tordus étirent dans la démesure. Sans oublier l'angoisse du personnage principal que l'on partage jusqu'à son paroxysme.