Le corps et le sang : Anatomie d’une histoire d’amour fou
Iconoclaste et irrévérencieux, le cinéma de Fabrice du Welz n’a peur de rien - ni d’être enfermé dans la catégorie « film de genre » que le réalisateur rejette, ni de choquer sa mère, qui, chaque fois qu’elle sort de la salle, trouve les films de son fils « bizarres ». Avec Alléluia, il ne déroge pas à la règle. Une fois de plus, il ne jure que par l’audace, Eros & Thanatos et l’utilisation de la pellicule !