De la poussière à la poussière…
Regard éminemment politique et brûlant que celui qui ose aujourd’hui ramener l’animal au cœur de l’homme. Et c’est à travers la mort, celle qui affecte au corps son dernier devenir, uniquement organique, que Sacha Kullberg s’y attelle avec force et détermination dans un premier documentaire, Une philosophie des yeux fermés, découvert lors de sa projection en avant-première, au Beursschouwburg, ce mardi 14 février. Mais paradoxalement, au lieu de nourrir une autre vision du réel, plus le film avance, plus il se fige, glacé dans la démonstration réitérée.