Tu sais, la route est pleine de souffrance
Il y a ceux qui prennent la route pour se changer les idées, pour voyager, pour déconnecter, pour s’approcher du soleil et il y a les autres. Ceux qui sont obligés de prendre la route pour survivre, pour envoyer de l’argent à leur maman, à leur père, à leur frère, restés au pays. Ceux qui se sacrifient, ceux qui quittent tout pour toujours, ceux qui s’oublient, ceux qui disparaissent à tout jamais. C’est l’histoire de Pateh Sabally, un jeune gambien de 22 ans.