« Pour le court-métrage belge, c'est une année formidable »
C'est un fait. Historiquement, le court-métrage ne s'est jamais aussi bien porté chez nous. Avec deux films belges parmi les cinq rescapés des derniers Césars (Les Petites Mains de Rémi Allier, le lauréat, et Kapitalistis de Pablo Munoz Gomez), deux dans les dix finalistes des Oscars (Icare de Nicolas Boucart et May Day du Tandem Fedrik De Beul – Olivier Magis) et un autre (Lucia en el Limbo de Valentina Maurel) concourant pour le prochain Festival de Cannes, le genre est aux nues.
Et alors que le 22e Festival du Court-métrage accueille en ce moment 25 000 festivaliers à Bruxelles, Anne-Françoise Reynders, coordinatrice de l'Agence belge du court-métrage depuis sa création en 2016, évoque ce petit phénomène.