Mourir d’amour enchaînés
La passion fiévreuse qui étouffe lentement, qui anéantit toute forme de raison et mène à une folie… inexorable. Voilà le thème dont Fabrice Du Welz s’est fait le chantre dès son mémorable premier long, Calvaire, et qu’il a décliné inlassablement, sous des formes diverses, tout au long de ses essais les plus réussis : Vinyan, Alléluia et Adoration.