Cul sec ! et à l’air….
En 2003, Félix van Groeningen imposait à l'écran sa radicalité formelle en suivant les pas d’un jeune dealer et d’une arpenteuse de trottoir dans Steve+Sky. Trois ans plus tard, le jeune réalisateur flamand revenait avec Dagen zonder Lief où six trentenaires oscillaient entre insouciance et prise de conscience.
Cette année, avec La Merditude des choses, sélectionné pour les Oscars 2010, il passe, pour la première fois, à l’adaptation d’un roman éponyme sans pour autant abandonner un style très personnel.