Pour paraphraser Don Westlake (1), tout le monde cherche quelque chose. Les hommes cherchent les femmes et vice et versa. Les cinéastes cherchent de la pellicule à impressionner, les scénaristes des idées à développer, les producteurs des sujets à finaliser et les acteurs des rôles à interpréter.
Ce qui permet aux journalistes de trouver des infos à publier.
Voilà pourquoi, en cette froide journée de février, nous sommes rue de Belgrade, plus précisément dans une ancienne usine dont Pierre Lekeux a obtenu la jouissance sans autre loyer que l'entretien du bâtiment.