« Ce que j’aime dans le cinéma, c'est les paradoxes »
Révélé par son court-métrage Titan, Valéry Carnoy signe avec La Danse des renards (Quinzaine des cinéastes, FIFF, Saint-Jean-de-Luz …), un premier long-métrage nerveux entre visible et invisible. À travers le parcours de Camille (Samuel Kircher), jeune boxer en proie à une douleur psychosomatique, le cinéaste belge interroge la masculinité, la vulnérabilité, la faille et la santé mentale.









