Les plaisirs d’inventer
Claude Schmitz, après une carrière au théâtre, réalise de nombreux films - que ce soit pour ses pièces ou par le cinéma. Après un moyen-métrage Braquer Poitiers, tourné en 2019 et de nombreux courts, il réalise Lucie perd son cheval, un « premier » long-métrage, un peu de la même manière : en bande, en échappée libre, en improvisation, au fil des jours qui tissent les histoires en poupées gigognes. L’entretien avec lui est à l’image de ses films : il prend des chemins inattendus, foisonne, s’arrête, circule et se reprend. Et vadrouille, librement.