Rencontre croisée de Xavier Diskeuve, Fiona Gordon et Dominique Abel
La dernière édition de la "Collection court" de Come and see, n'est pas la présentation d'un court métrage, mais d'un auteur : Xavier Diskeuve, court métragiste, qui en est à sa troisième réalisation.
Mélanie Couraud, de Come & see, en collaboration avec Cinéart, édite un DVD avec, Mon cousin Jacques, La Chanson-Chanson et Révolution. « C’est court mais belge » lit-on.
C’est court, c’est belge, c’est bénévole...
Sur les trois films de Xavier Diskeuve, (nous suivons depuis ses débuts cet espiègle de la risette), vous pourrez…
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A la 46ème Semaine Internationale de la Critique, sept longs métrages, dont le sien, étaient en lice pour la Caméra d'Or. Au moment où Voleurs de chevaux, sorti sur nos écrans à la fin du mois d'août, poursuit sa vie dans nos salles, Cinergie a rencontré son réalisateur décontracté et sympa, Micha Wald.
Cinergie : On a découvert récemment que Voleurs de chevaux était à la base un projet de court métrage que tu n’avais pas réussi à mener sur ce format-là et que tu as cherché à développer en long…Micha Wald : Oui, en fait, c’était un court métrage qui racontait…
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À ARTE, le court métrage s’active dans une case définie : « Court-circuit ». Regards originaux, œuvres internationales et de jeunesse : l’émission s’est offert de l’éclectique à souhait pendant 13 ans. Depuis début 2007, « Court-circuit OFF » occupe le Net en guise de complémentarité à l’antenne et d’interactivité avec le téléspectateur. La responsable de la nouvelle formule de « Court-circuit », Hélène Vayssières, était présente au dernier festival du court métrage de Bruxelles. Conversation sur l’herbe, sous le soleil et autour d’une… Lire l'article
À l’inverse de France 2, de France 3 ou encore d’Arte, les courts métrages ne s’affichent pas de façon hebdomadaire sur TV5. Ils sont pourtant très présents à l’antenne puisqu’ils escortent les longs et bénéficient d’une visibilité internationale à l’instar des autres programmes. Francophone et généraliste, la chaîne mise plus que jamais, depuis le développement de sa case cinéma, sur la transversalité et la multiculturalité. Angèle Paulino, responsable du court à TV5, était aussi présente au festival de Bruxelles. Entretien.
Cinergie : Quelle est la politique de TV5 en matière de court métrage…
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Il n’était pas avec les autres à Bruxelles. Mais un mois plus tard, il était annoncé à Cannes pour y faire son marché et assister à une table ronde en compagnie de ses confrères programmateurs. À l’occasion du festival, France 2 décernait par ailleurs et par son intermédiaire, un Prix au Short Film Corner, le rendez-vous des pros du court. Pour lui, un film de ce format est une aventure pas très éloignée de celle offerte par le cinéma. Rencontre avec Christophe Taudière, responsable du court à France 2 et chargé de programme pour l’émission « Histoires courtes ».
Cinergie : Connaissez-vous et appréciez-vous…
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Sa boîte, A Private View, située à Gand, produit, avec Artemis Productions et Egmont Films, Man zoekt vrouw (Pas sérieux s’abstenir), le dernier Van Hoogenbemt. Bardé d’un sourire permanent, il narre avec enthousiasme (« ça se passe très bien ») la collaboration avec les francophones, le travail avec Miel, les projets (ah, les projets : question indémodable) et aborde même la situation du cinéma flamand. Et on l'oublierait presque parce qu'il est modeste mais il est aussi l'un des scénaristes du film qui nous intéresse pour l'instant. Comment le sait-on? C'est écrit quelque part...
Cinergie : Parlez-nous de ce film…
Jean-Claude…
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Après avoir honoré longuement (25 ans) la case documentaire, Miel Van Hoogenbemt a signé son premier long en 2005 avec Miss Montigny. La fiction n’a pas fini de le tarauder puisque le 6 novembre dernier, débutait le tournage de Man zoekt Vrouw (Pas sérieux s’abstenir), son premier film flamand mais également son premier scénar’. Des questions à lui soumettre ? Natuurlijk.
Cinergie : Ce n’est pas la première coproduction des deux côtés de la frontière à laquelle tu participes. Comment est-ce que cela se passe ?Miel Van Hoogenbemt : C’est en tout cas mon premier film flamand, ce qui est assez nouveau pour moi parce que toute ma filmographie est…
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Sur France 3, "Libre court" propose depuis 1992 des courts métrages inspirés et pétillants et révèle les réalisateurs en devenir. En janvier dernier, la case sortait les bougies à l'occasion de ses 15 ans. Rencontre avec son fondateur et présentateur, Roland Nguyen également responsable de ce format sur la chaîne. Thé vert et humanité invités : une pause pendant le festival du court de Bruxelles.
Cinergie: Quand et comment est apparu et s’est développé le court métrage sur France 3 ?Roland Nguyen : C’est une longue histoire. France 3 existe depuis 1975. À l’époque, il y avait une case spécifique en prime time,…
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Rencontre avec les réalisateurs : Bernard Declercq et Thomas François
Cinergie : Ce sont rarement des adolescents qui sont les héros dans des films belges.Bernard Declercq : Oui, même dans le cinéma social en général.C. : Le milieu social me dérange un peu, je veux dire ces bourges épouvantablement riches, moi, clairement je ne connais pas des gens comme ça.B. D. : Mais ça existe.
C. : Un peu comme dans Bunker Paradise, ça fait un peu sarkozien.B. D. : Ségolène Royal a une belle propriété aussi vous savez ! (rires)
C. : Oui, mais ça représente une infime partie de la population. Est-ce volontaire de choisir ce milieu-là ?B. D. : Nous…
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La nouvelle vague du cinéma flamand Cinergie : Peux-tu nous expliquer ton parcours en quelques mots ?Koen Mortier : J'ai trouvé ma vocation de réalisateur assez tard en fait. J'ai réalisé un premier court métrage quand j'avais 30 ans, en 1995, qui s'appelait Anatomij et qui était un film expérimental sur l'anatomie. Puis j'ai fait un deuxième court métrage l'année suivante, et ce film a gagné une dizaine de prix un peu partout, en Belgique mais aussi à l'étranger. Après ce court, je n'avais plus de boulot. Comme tous les gens qui font du cinéma, j'ai remarqué que dès que l'on a fait le pas en tant que réalisateur,…
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Depuis 1991, Why Not Productions (Paris) est connue et reconnue pour avoir soutenu des films de cinéastes justes et pointus comme Arnaud Desplechin, Philippe Garrel, Bruno Podalydès, Xavier Beauvois, Claude Lanzmann, Jean-Luc Godard, Jean-François Richet, Jacques Audiard,… . Dix ans plus tard, ce lien avec les auteurs ne passait plus seulement par la production puisque Why Not a commencé à co-éditer, avec Les Cahiers du Cinéma, certains de ses films mais aussi ceux d’autres catalogues. Aujourd’hui, la collection compte 17 titres français et étrangers et poursuit sa mission cinéphilique : offrir aux films une deuxième chance. Entretien avec Hélène Cases, responsable de l'édition… Lire l'article
Depuis plus de 30 ans, la Cinémathèque Royale propose, à travers une double compétition, l’Age d’Or/Cinédécouvertes, de découvrir des films inédits en Belgique. Depuis 1973 le Prix de l’Age d’Or récompense l’auteur d’un film qui, ‘par l’originalité, la singularité de son propos et de son écriture, s’écarte délibérément des conformismes cinématographiques. Cinédécouvertes vise à faire découvrir au public des films remarqués dans divers festivals internationaux (Cannes, Berlin, Rotterdam) et d’en encourager la distribution. Repérages avec Jean-François… Lire l'article
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cinergie/revue94/Photo1.mp3
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Johan Pollefoort est un passionné de dessin. Il est le réalisateur de Death’s Job, un court métrage d'animation sélectionné à Anima 2007, qui a reçu le prix Cinergie et qui circule dans pas mal de festivals dont celui d'Annecy.Après avoir réalisé des études d'infographie à Lille, il a décidé de s'inscrire en animation à La Cambre. La BD et l'animation sont ses deux moteurs dans la vie. Il a déjà reçu le Prix Espoir à la Quinzaine de la BD 2006 de Bruxelles pour son projet d’album L’Indépendanse.Et c'est sa passion pour le dessin qui l’a amené à réaliser des films animés.…
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Silences pluriels. Tension unanime.
Dans Cages, le premier long métrage d'Olivier Masset-Depasse, il y a elle et il y a lui. Ensemble, ils s'aiment mais sont démunis face à l’accident qu’elle subit et qui la cloître dans un bégaiement. Leurs intériorités s’entremêlent pour livrer des rôles fragiles et forts à la fois. Entretien avec Anne Coesens, comédienne lumineuse-rêveuse et Sagamore Stévenin, acteur en phase avec un cinéma humain et sensoriel.
Cinergie : Cages est un film auquel on peut accoler plein d’adjectifs. Fort, instinctif, extrême, tourmenté, passionné, noir, romantique, psychologique. Qu’est-ce qui vous a attiré…
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