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Les quatre fantastiques
Des films de super-héros, nous en mangeons à toutes les sauces depuis vingt ans, mais rares sont ceux qui proposent encore autre chose qu’une routine formatée. Loin semble l’époque où un Richard Donner, un Tim Burton, un Sam Raimi ou un Christopher Nolan injectaient un peu de personnalité ainsi qu’un véritable point de vue dans les aventures de leurs justiciers en collants. Néanmoins, une bonne surprise récente venait d’Italie : en 2015, avec l’étonnant On l’appelle Jeeg Robot, Gabriele Mainetti se réappropriait le genre avec deux sous et une belle ambition. Pour son deuxième film, il remet le paquet avec un grand barnum (et un budget bien plus…
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Tous les 21 ans, la lune apparaît dans le ciel. Une nuit peuplée de mystères, où certains disparaissent tandis que d’autres vieillissent sans s’en rendre compte, et où l’inattendu est la norme. Pour Élodie et Sophia, la nuit réserve bien des surprises et des déconfitures. Pourvu que cela se passe mieux que la dernière fois…
Souvenirs de la lune tient sa force dans son concept, intriguant et assez bien mis en scène. Déjouant habilement l’écueil d’une exposition pesante, Antoine Dricot utilise une radio à moitié désincarnée pour présenter son postulat, et introduire les tenants et aboutissants de son univers. De là, ses personnages…
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Les OVNIS belges auront leur "documenteur"
Pour ceux et celles qui suivent les coulisses du cinéma belge francophone, le nom de Jérôme Vandewattyne évoque forcément quelque chose. Un paysage dans lequel ce réalisateur au look de rocker dénote depuis plusieurs années déjà.
Baignant depuis toujours entre le7e art et la musique, ce jeune trentenaire s'est notamment fait remarquer en 2017 avec un premier film autofinancé, Spit'n'split, un faux documentaire dans le monde musical. Une réussite qui lui permet d'être à présent produit (par Take Five), son second film (The Belgian Wave) venant d'être tourné.
Fin 2020, en apprenant…
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QUEER Mais Trash est la version LGBTQIA+ du festival bruxellois Courts Mais Trash du 13 au 15 octobre 2022 au cinéma Aventure
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Pour sa deuxième édition, et pour la première fois en présentiel, le Festival Graines de Cinéastes aura lieu au Cinéma Aventure de 1 et 2 octobre 2022.
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Ce documentaire prolonge l’introspection familiale débutée par la réalisatrice dans L’œil du chien (2019) où elle brossait le portrait de sa grand-mère. Cette fois-ci, l’attention est recentrée sur son petit frère Arnaud qui a connu une enfance difficile (foyers d’accueil et maltraitances familiales). Un témoignage puissant qui met à jour l’inégalité des chances et la quête de sens d’un jeune homme paumé.
Dans Soy Libre, Laure Portier, diplômée de l’INSAS, réalise son premier long-métrage. En choisissant de mettre son petit frère au centre de l’écran, la réalisatrice nous permet de pénétrer…
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Cinergie entame une nouvelle collaboration avec Ciné4 de Nivelles. Pour leur première séance, le jeudi 29 septembre, dans le cadre des fêtes de la Fédération Wallonie-Bruxelles, sont proposés une sélection de courts métrages engagés "portant un regard sur des problématiques de société en lien avec les pays du Sud, telles que la surexploitation des ressources naturelles, le changement climatique, la mondialisation et la migration, nous rappelant que nous partageons la même planète et que nos modes de production et de consommation ont un impact sur la vie de millions de personnes de l’autre côté du globe".
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L’association Paye Ton Tournage et le collectif Elles Font Des Films, avec le soutien du Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel et la Direction à l’Egalité des Chances de la Fédération Wallonie-Bruxelles, et la participation de la SCAM, la SACD, l’UPFF, l’ARRF et screen.brussels ont souhaité initier une série d’actions visant à prévenir et agir contre les violences sexistes et sexuelles au travail.
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Le projet MOUV, cinéma itinérant à Forest par le collectif Movy Up, dévoile son programme d'autonme.
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La 22e édition du Cinemamed Bruxelles, qui se déroulera du 2 au 10 décembre 2022, donne l'occasion aux jeunes passionnés de cinéma qui ont entre 18 et 25 ans d'être membre du Jury Jeune.
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Presenté à Annecy 2022, la série Cherchez la femme fait sans conteste partie des plus sympathiques productions d'Arte de cette année. Mettant en images - et plus précisément en stop motion - les échanges entre un historien pontifiant nourri au patriarcat et une femme de papier échappée de la prison de l'Histoire, la série vous emmènera dans un univers méconnu, celui des femmes qui ont fait notre monde moderne. Et ce, sans que personne ne semble s'en rendre compte. Mettant ainsi les points sur les I, l'équipe des Films du Bilboquet, associée pour la Belgique avec Iota Production, donne à voir une croustillante relecture des mythes fondateurs de la société… Lire l'article
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L'année où le festival lance un focus Belge sur le cinéma de genre, le Corbeau d'Or de cette 40e édition s'avère être une coproduction belge. C'est du jamais vu depuis 1983. Voici le palmarès complet de la 40e édition du BIFFF
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"La couleur directe, c’est la couleur directement appliquée sur la planche, indissociable de l’œuvre originale, non plus surajoutée a une image qui pourrait se passer d’elle, mais constituant sa matière même" (Thierry Groensteen). La couleur directe, c’est aussi l’un des apports et des signes distinctifs de la technique d’Alex Barbier. Professeur de dessin renvoyé de l’éducation nationale pour cause d’attitude subversive, Barbier deviendra un auteur de bande dessinée célèbre grâce à son passage dès 1974 dans les pages de "Charlie Mensuel" puis de "Hara-Kiri". Son univers divagatoire et parfois paranoïaque, peuplé de lieux abandonnés, de corps et d’érotisme, tient tant de Francis Bacon que de William S. Burroughs. Adepte de "la ligne brouillée", des aquarelles saturées, de l’écoline et de l’eau de javel, expérimentateur intègre et sauvage, Barbier a préféré suivre les chemins solitaires de la peinture plutôt qu’entretenir son succès au prix d’exigences de la presse et de l’industrie de la BD. Il a publié ses adieux à la BD en 2014 aux éditions Frémok (qui publiera en octobre une BD posthume). Avant la disparition d’Alex Barbier en 2019, la cinéaste belge Laura Petitjean l’a longuement filmé. Deux films sont issus de ce processus à découvrir lors de cette soirée spéciale, le jeudi 15 septembre dès 20h.
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Et si un jour on perdait la vue, quelles images voudrait-on imprimer à tout jamais dans notre cerveau ? Que voudrait-on voir pour ne jamais l’oublier ? Pour en garder une trace tangible, ineffaçable ? C’est le questionnement d’Olivier qui apprend, à 35 ans, qu’il est susceptible de perdre la vue d’ici cinq ans.
Quand on demande aux enfants ce qu’ils voudront faire plus tard, certains répondent astronautes, policiers, d’autres, acteurs, architectes. Olivier, lui, voulait être vétérinaire pour baleines. Vaste projet. Mais, ses rêves marins se sont rapidement dissipés après une expérience traumatisante à la piscine alors qu’il avait huit ans. Ne voulant…
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