Toute l'actualité du cinéma belge

La bête humaine
Nejma (Oulaya Amamra), 22 ans, s’entraîne dur pour réaliser son rêve: remporter la prochaine compétition locale de tauromachie, un concours où l’on défie des taureaux dans l’arène. Employée au « Leonard Ranch » en Camargue, avec ses paysages de terre brûlée rappellant par leur ambiance de western les meilleurs épisodes de Yellowstone, elle mène une vie de sacrifices et se concentre sur sa passion plutôt que sur les hommes qui l’entourent, qu’elle ne laisse pourtant pas indifférents. Mais alors que la saison touristique bat son plein, la rumeur d’un taureau en fuite effraie la population, troublée par les découvertes…   Lire l'article

Animée par le cinéma depuis son plus jeune âge, Christine Polis l’anime désormais en volumes. Marionnettiste, accessoiriste et sculptrice sur des projets prestigieux comme Ma vie de courgette ou Isle of Dogs, elle est également collaboratrice de longue date de Panique au village, à l’aise dans tous les formats du cinéma d’animation. À la SABAM, nous avons eu le plaisir de revenir sur sa carrière multiple, en attendant de découvrir Sauvages, son dernier projet avec Claude Barras.
Cinergie : Lorsque vous débutez votre formation à La Cambre, vous aviez déjà l’envie d’aller vers l’animation stop motion?
Christine Polis : Oui, j’y suis allé même…   Lire l'article

Dans ce court métrage envoûtant, Marion et Patrick, interprétés respectivement par Stéphanie Goemaere et Louis Sylvestrie, accueillent Mathis, joué par Igor Van Dessel. Ce jeune en quête de repères passe une semaine avec eux, bouleversant leur existence. La présence de Mathis pousse Marion à explorer ses désirs profonds et à remettre en question les limites de sa vie professionnelle et amoureuse. Entre regards intenses et choix de vie décisifs, le film se révèle être une ode aux sentiments et au lâcher-prise, célébrant le désir de vivre pleinement sans se soucier dès "qu'en dira-t-on".
Le dernier film de Victoria Lack incarne une esthétique…   Lire l'article

Dans un monde où l'eau est devenue la ressource la plus convoitée, Assoiffé mêle avec brio l’humour caustique et décalé à une réflexion profonde sur les enjeux sociétaux et écologiques. À travers un affrontement impitoyable entre deux camps rivaux, les expressions verbales des personnages deviennent des armes redoutables, accentuant le côté loufoque et intense de cette lutte sans merci. Sous sa surface excentrique, Assoiffé livre un message percutant, invitant les spectateurs à repenser notre rapport à la nature et à la solidarité dans un monde en quête de sens.
La trilogie débutée avec Littoralement (2019) trouve son point culminant avec…   Lire l'article

Intrigué par la place que se fraie l’intelligence artificielle dans nos sociétés contemporaines, Luc Jabon procède à une recherche organisée sur les modes de fonctionnement de l’IA, ses utilisations, sa pertinence et son devenir. On (re)découvre avec lui l’omniprésence de l’IA, notamment dans les champs d’études technologiques, médicales, sociologiques ; elle s’insère même là où l’attendrait moins, à savoir dans les domaines éducatifs et artistiques. Ce film permet alors la rencontre de différents points de vue, étayés par des personnes partageant des préoccupations communes, notamment le fonctionnement de la…   Lire l'article

© JP.Malherbe/N.L.P.

© JP.Malherbe/N.L.P.

Après avoir raflé en mars sept Magritte du cinéma, Dalva, le premier long métrage d’Emmanuelle Nicot a aussi conquis l’immense jury du Prix des lycéens, constitué de 6900 élèves de 5^e et 6^e secondaire.

Voix nasillarde. Format carré. Noir et blanc texturé. Chanson de bal musette. Le documentaire Elles votent comme papa s’ouvre sur des images d'époque. Celles de la “télé de papa” pour parler, paradoxalement, de l’évolution des droits des femmes. 
26 juin 1949 en Belgique. Les femmes honorent en nombre leur récente acquisition du plein droit de vote en obtenant la possibilité de donner leur avis aux élections provinciales et législatives (elles avaient déjà le droit de vote aux communales depuis 1920). 9 juin 2024, 75 ans plus tard, elles ont vu leur place dans le monde politique s'accroître, leur ambition s’étendre, leur légitimité s’approfondir.…   Lire l'article

L'AAAPA (Association des Ateliers d'Accueil, d'École et de Production) a sélectionné une série de courts-métrages de ses ateliers et vous propose de découvrir, en présence des cinéastes, un programme qui raconte les corps, l'interaction avec l'esprit, leur lien ou la disparition de l'un ou de l'autre. 

Rendez-vous le mardi 4 juin à 19:00.

Du 01 juillet au 05 juillet 2024, Zorobabel ouvre ses portes pendant une semaine pour faire  découvrir le cinéma d’animation, en réalisant un court-métrage de quelques minutes en équipe.
À partir d’un thème proposé, chaque participant réalisera une séquence animée en expérimentant différentes techniques graphiques sur banc titre.

FILMS D’ANIMATION, COLLECTIFS, PAR ET AVEC DES ENFANTS

Une projection suivie d’une rencontre avec les protagonistes des films et l’équipe de l’Atelier Graphoui qui se déroulera le jeudi 30 mai au Cinéma Nova. 

Depuis sa création, l’Atelier Graphoui développe en parallèle une approche professionnelle du cinéma d’animation et un travail avec des publics amateurs (enfants, habitants, associations...). En partageant leurs compétences et leurs infrastructures, les membres de l’Atelier Graphoui sont guidés par trois intentions : démystifier la technique, décloisonner les différentes étapes de travail et déhiérarchiser les productions.

La Vidéothèque Nomade continue son chemin et fait escale pour ce mois de mai au Club 55 à Anderlecht et au Club Norwest à Jette.