L'eau du fleuve Congo coule inlassablement le long de cette terre, chère au cinéaste belge Thierry Michel. Un pays dont la population a souffert pendant près de 25 ans, torturée par les guerres ethniques incessantes et les violences systémiques installées il y a plus d'un siècle par les colons "civilisateurs". Des stigmates béants, que l'empire du silence imposé par les puissants, n'a jamais daigné panser.