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Dans Zaad, le cinéaste Dries Meddens passe au peigne fin son passé pour mieux connaître son héritage familial et quelque part y déceler l’origine de la bipolarité de son père. Tout s’est déclenché au moment de la mort soudaine de sa mère.
Le long métrage est rythmé par les photos et les vidéos présentant les trois générations précédant le protagoniste, que ce soit au sein de leurs foyers ou ailleurs, mais aussi ses progénitures. Parallèlement, Dries partage à un psychiatre ses craintes liées à sa propre santé mentale, au deuil, au vertige qu’il a ressenti au moment de ces deux événements…
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Dans Partitions d’instinct, nous découvrons le formidable projet artistique réalisé au sein des services hospitaliers de l'hôpital Vinatier à Lyon où des jeunes adultes âgés de 18 à 25 ans, accompagné·e·s de leurs frères et sœurs et de certains membres du personnel soignant, exécutent une œuvre vibrante d’expression corporelle et de danse.
Iels partagent d’abord toustes à la caméra leur première expérience de la maladie mentale, synonyme d’une certaine rupture avec la réalité voire parfois d’une hospitalisation. Pierre raconte par exemple comment sa bipolarité lui est tombée dessus, comment son…
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Le CMCA – Centre Méditerranéen de la Communication Audiovisuelle – organise la 2e édition du concours de courts métrages méditerranéens, CourtMed.
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Le court-métrage documentaire À votre service (2024) de Ludmila Bergeon, sélectionné dans la catégorie Jeune Cinéma belge du festival bruxellois En Ville, offre un regard sobre et émouvant sur la réalité des femmes étrangères travaillant dans les titres-services. À travers des gestes simples et des silences éloquents, le film met en lumière leur solitude, le manque de perspectives, mais aussi la force qui les anime : offrir un avenir meilleur à leurs enfants.
Lors de l’introduction, le spectateur découvre un travail peu valorisé et souvent solitaire, rythmé uniquement par le bruit d’un aspirateur dans un silence absolu.
À votre service suit le quotidien…
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Le samedi 15 février à 18h, découvrez la sélection de films francophones du Comité de séléction du festival. Ces courts-métrages, issus de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ont été choisis pour la richesse de leurs scénarios et la qualité du jeu des acteurs. Ils explorent majoritairement des thématiques fortes et offrent des récits intenses et percutants.
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Le programme des projection de la 3e édition de la rétrospective de films expérimentaux et d’art vidéo réalisés par les élèves de l'Atelier Vidéographie de l'Académie des Arts Visuels de Molenbeek est disponible.
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En 2009, Layla Hachichi est retrouvée calcinée dans l’habitation de ses parents à Anvers, après avoir subi ce qui s’apparente à un exorcisme. L’objectif vraisemblablement poursuivi : “guérir” la jeune femme de son homosexualité. À partir de cet épisode, Alex Winkel, chercheur et membre de l’ASBL Citoyenneté & Participation, a tenté d’en apprendre plus sur ces “thérapies de conversion” peu médiatisées en Belgique et pourtant bien présentes. Rien à guérir raconte, au travers de témoignages que l’on peine à croire sortis de notre société belge du 21e siècle.
Mehdi, Jean-Philippe,…
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Le premier long-métrage des frères Jan et Raf Roosens, ouvre la dix-septième édition du Festival du Film d'Ostende avec audace. Le film marque les débuts à l'écran de Billie-Louise Baetens, aux côtés de sa mère Veerle Baetens, mais également de Gorik van Oudheusden, alias Zwangere Guy. En conclusion, Comeback nous invite à comprendre l’importance de savoir ce que l’on veut et ne veut pas dans la vie, tout en prônant la bienveillance, le pardon et la réconciliation.
À travers le regard d’Ava (Billie-Louise Baetens), 14 ans, Comeback explore la quête d’identité d’une adolescente entre les ambitions de sa mère DJ (Veerle Baetens) et…
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Ana + Yek, Moi + Toi en arabe, c’est l’histoire de Sanaa et Zohra, deux sœurs, deux jumelles, deux identités dont on suit le quotidien sur plusieurs années. Les jeunes femmes partagent le même toit bruxellois et le même héritage marocain. Alors que Zohra se détache progressivement de cette tradition, Sanaa s’en rapproche de plus en plus. Le film de Romy Mana et Zohra Benhammou, deux jeunes réalisatrices basées à Bruxelles, raconte cette relation sororale en s’immisçant au plus profond de leur intériorité.
Assises l’une en face de l’autre, les deux sœurs partagent le repas du premier jour du ramadan. Première scène du film, premières esquisses…
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Les soixante-huitards du cinéma belge, lorsqu’ils jettent un regard dans le rétroviseur de leurs vies ne voient pas seulement les personnalités phares, les André Delvaux, Harry Kümel, Chantal Akerman, les frères Dardenne, Fons Rademakers, Jean Brismé, Marian Handwerker, Jean-Jacques Andrien, Benoît Lamy et tant d’autres.
Ils voient et se souviennent de toutes celles et tous ceux dont les talents souvent exceptionnels ont permis l’émergence de cette cinématographie singulière estimée par les cinéphiles du monde entier.
Parmi ces collaborateurs de l’ombre, il en est qui ont marqué davantage et plus longtemps, par leurs talents, leurs personnalités,…
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Quelle frontière sépare l’intime et le public ? Lorsque l’on tient son journal, a-t-on conscience que quelqu’un le lira peut-être un jour ou sera-t-il détruit avant que les mots ne s’échappent des pages pour tracer leur route ? Marie-Louise Chapelle est la première femme française à avoir gravi un sommet encore inexploré de l’Himalaya en 1952. Une femme alpiniste des années 1950, une mère de famille, crampons aux pieds, qui partage sa vie en deux : montagne versus famille. Marie-Louise Chapelle a tenu un journal, a écrit des lettres, a photographié ses expéditions, les a filmées. Un trésor qui n’a jamais été ni brûlé… Lire l'article
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Avec son changement de nom, la Médiathèque Nouvelle affirme d'autant plus son rôle de passeuse de culture dans les domaines de la musique, du cinéma et du jeu vidéo, et se réinvente avec de nouvelles missions : le prêt de médias, la conservation et le patrimoine, la médiation culturelle, et l’éducation aux médias. La Médiathèque Nouvelle entreprend donc une transition de fond, mais aussi de forme en se lançant dans un projet de rénovation de ses locaux afin d'optimiser les lieux et de les rendre plus chalereux.
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Pendant deux ans, Maxime Jennes, réalisateur, et Léa Le Fell, comédienne de formation, ont développé le projet Marotte. Pour ce faire, iels ont organisé des ateliers de théâtre avec les résidents de la maison de repos et de soin Albert De Latour. Ensemble, iels ont élaboré un scénario de film s’inspirant directement de leur réalité. Iels ont pu ainsi vivre l’expérience de se transformer en acteurs de leur propre quotidien.
Cinergie : Pourquoi et comment avez-vous choisi cette maison de repos et de soin ?
Léa Le Fell : On a choisi cette maison de repos qui dépend du CPAS de Schaerbeek. J’ai bénéficié d’une…
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